Echo de Paris

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12 septembre 2012 – Coup d’envoi médiatique du concert de Tania Kassis à l’Olympia – Cliquer sur l’image pour écouter

bg-1-136591Coup d’envoi médiatique, mardi, du concert de Tania Kassis le 19 octobre à l’Olympia qui montera pour une soirée unique sur la scène mythique de la salle de Bruno Coquatrix avec le ténor Fabrice Mantegna et Johnny Maalouf.

Dans les salons, Place Vendôme, de la prestigieuse maison Chopard, un des sponsors de l’événement et en présence de l’ambassadeur du Liban, M. Boutros Assaker qui a prononcé un mot de circonstance, des journalistes français et libanais ont reçu leurs dossiers de presse des mains par les soins de l’équipe de Cynthia Sarkis-Perros, organisatrice de l’événement.

Tania_Kassis_final_2_2[1]Mot de circonstance également de l’artiste qui a présente ses deux compagnons de scène annonçant un répertoire éclectique qui mêlera, dans ses voix et mélodies des oeuvres d’Orient et d’Occident.

Il y a longtemps  (depuis 1998) qu’un artiste libanais ne s’était produit à l’Olympia et le box office montre déjà plus de 60% de ventes dont des billets achetés par des libanais qui viendront spécialement de chez nous pour la circonstance.

Parmi les sponsors de cet événement des plus prestigieux qui montrera dans la Ville Lumière le Liban autrement à un moment dont notre pays en a réellement besoin : MEA, Banque Med, L’Orient Le Jour,  SGBL, Chopard, bien entendu, Solidere, Renault, MTV, Elle, Park Hyatt Paris,Basil Soda, Nostalgie et Noura.

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sami5 juin 2012 – A la Villa Copernic, LE PROFESSEUR SAMI-PAUL TAWIL DANS L’ORDRE DES PALMES ACADEMIQUES

Dans les salons de l’ambassade du Liban, rue Copernic et lors d’une réception on offerte vendredi dernier par l’ambassadeur Boutros Assaker, le Dr Sami-Paul Tawil,  professeur au Collège de Médecine des Hôpitaux de Paris et Chevalier de la Légion d’honneur, a reçu les insignes de Chevalier  de  l’Ordre des Palmes Académiques qui lui ont été remis par M.Jean-Christophe Rufin, membre de l’Académie Française et ancien ambassadeur de France.

La remise de la décoration a eu lieu en présence d’une centaine de personnalités françaises et libanaises dont les professeurs Maurice Ferreri et Charles Siegfried Peretti des hôpitaux Saint-Antoine et de l’université Pierre et Marie Curie.

Des mots de circonstance ont été prononcés, notamment par l’ambassadeur Boutros Assaker qui a fait l’éloge du Dr Tawil, éminente personnalité du corps médical français, du monde médical franco-libanais, rappelant ses grandes qualités scientifiques et humaines.

Ont également pris la parole M. Rufin et, bien entendu le lauréat qui a déclaré qu’il a voulu recevoir ses insignes en terre libanaise  et dédié sa décoration à la francophonie « langage que le monde a en partage », a-t-il dit, ainsi qu’à la Faculté de Médecine de Beyrouth, à l’Hôpital Saint-Antoine et au Cercle Richelieu-Senghor. 

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imgres2 avril 2012 – «ESCALE A BEYROUTH » UNE SOIREE PARISIENNE AVEC DES TALENTS LIBANAIS ET DEDIEE A UNE NOBLE CAUSE

« Escale à Beyrouth », un spectacle mis en scène par Nicole Chami Mouradian, a permis aux Libanais de France et à leurs amis de passer une soirée inoubliable dans la grande salle de l’Unesco, Place Fontenoy.

L’initiative revient à la section française de l’ULCM, encouragée par l’ambassadrice du Liban auprès de l’Unesco, Mme Sylvie Fadlallah qui était, bien entendu au premier rang d’une assistance qui a ovationné à plusieurs reprises les artistes, chanteurs, danseurs et mille et un talent découverts sous le thème cosmopolite de Beyrouth qui ce soir là était une sorte de capitale du monde.

Programme éclectique de chants et rythmes du monde réglé avec minutie par Mme Mouradian aidée par de jeunes bénévoles. Il faut dire que, outre cette belle illustration des talents libanais, la cause était mobilisatrice et unificatrice puisque les revenus de la soirée étaient dédiés aux orphelins des martyrs de l’Armée libanaise.

Chants et danses du monde exclusivement exécutés par de jeunes Libanais qui ont voulu, l’espace d’une soirée, montrer le Liban autrement… On s’est retrouvé, comme si on y était réellement, à New-York, à Barcelone, Rome et bien entendu Paris.

Il ne faut surtout pas oublier la contribution les dirigeants de l’UCLM dont le Président du Conseil national de  l’ULCM-France, M. Edmond Abdel Massih,  le président du Conseil régional  pour l’Europe, M. Roger Hani et les cadres d’autres associations libanaises qui ont voulu être de la fête en prêtant le concours à Nicole Chami.

Les organisateurs et leurs amis devaient se retrouver en fin de soirée chez « Fakhr el Dine », rue de Longchamp, pour reprendre leur souffle autour d’un buffet digne de la maison et de l’événement.

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30 mars 2012 – Parmi les lauréates et boursières d’ l’Oréal-UNESCO pour les femmes et la science : DANA BAZZOUN, UNE CHERCHEUSE LIBANAISE SUR LES CELLULES CANCEREUSES

Danabazoun[1]Dana Bazzoun, une jeune chercheuse libanaise sur les cellules cancéreuses, a reçu jeudi soir une bourse d’études dans le cadre d’une cérémonie organisée dans les locaux de l’Unesco, Place Fontenoy,  par « L’Oréal-Unesco awards for Women in Science ».

Cette 14e édition de la cérémonie de remise des prix a également récompensé cinq femmes exceptionnelles de divers pays du monde qui contribuent à des recherches avancé es dans divers domaines de la science ainsi que des boursières repérées dans des universités.

C’est la directrice générale de l’Unesco, Mme Irina Bokova et Sir Lindsay Owen-Jones, président de l’Oréal qui ont remis les pris aux lauréates et boursières dont Dana Bazzoun que nous avons pu rencontrer jeudi entre deux tables rondes réunissant les chercheuses sélectionnées, avant la cérémonie de l’Unesco.

L’histoire de cette jeune scientifique originaire du sud-Liban commence dans le laboratoire du Dr Rabih Talhouk, à l’AUB  avec des équipes travaillant sur la transformation de cellules saines en cellules cancéreuses. « Nous avons d’abord pris des cellules saines et y avons introduit des éléments cancérigènes pour tenter de faire le chemin inverse dans le but de cerner le problème, nous a confié Dana Bazzoun expliquant qu’il s’agit  là d’une partie importante du processus de lutte contre le cancer et que c’est par de telles informations que l’on parvient à renforcer la prévention du cancer du sein, par exemple.  

Quels sont les projets de Dana Bazzoun ? Poursuivre, grâce à cette bourse, ses recherches dans une grande université aux Etats-Unis, au sein d’une équipe plus grande et par conséquent plus avancée dans le domaine qui est le sien.

Elle est fière, bien entendu, de figurer parmi les boursières mais aussi de monter sur le podium pour la remise des prix avec des chercheuses de niveau international venant du monde entier. Dana ajoute qu’elle se con sidère aussi comme une représentante du Liban dans le domaine scientifique et que c’est là un autre sujet de fierté.

Dans un an, Dana Bazzoun soumettra un rapport sur ses travaux au comité scientifique de la fondation qui lui a octroyé sa bourse et qu’elle poursuivra ses recherches dans le même domaine, bien entendu, mais à un échelon plus avancé.

Dans la catégorie « espoirs » de la recherche scientifique libanaise dans la lutte contre le cancer, Dans Bazzoun  ne cache pas sa joie d’avoir obtenu sa bourse affirmant qu’elle consacrera ses travaux et sa vie pour une des causes les plus nobles au Liban et dans le monde. 

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23 mars 2012 – « LES TABLETTES » DE JEAN-LOUIS NOMICOS OU UNE GRANDE TABLE DANS LES BEAUX QUARTRIERS

Jean-Louis NomicosLes tablettes de Jean-Louis Nomicos ne sont pas un nouveau miracle informatique mais une non moins géniale réalisation gastronomique d’un jeune chef installé dans un beau quartier (à l’angle de l’avenue Bugeaud et de la rue de la Pompe, 16e) où il a réalisé la prouesse d’une étoile Michelin dès sa première année. Ses secrets, de l’imagination, de l’authenticité et une courtoisie naturelle dans un monde où la célébrité est génératrice de suffisance et de prétention. 

Ce jeune artiste vous accueille avec la cordialité et l’amabilité d’un patron de bistrot pour vous proposer des créations inédites et vous émerveiller à chaque plat, en crescendo. Ce soir là, le fil conducteur était la truffe noire trônant tantôt sur un coussin de macaronis au foie gras, parmesan et jus de veau, tantôt sur un turbotin aux pommes de terre fondantes puis sur une noix de veau de Corrèze et de gnocchis de pomme de terre accompagnés d’oignons grelots.

Le service est digne des plus grandes tables parisiennes, le patron, formé chez Lasserre ayant imposé la régularité et la courtoisie qui conviennent. Le cadre simple et agréable, l’éclairage net mais pas indiscret permet de lire aisément la carte et de voir nettement le contenu de l’assiette.

En tombée de rideau, un choix difficile entre les fromages affinés, chèvre frais en tête, de tendres meringues aux fraises des bois et d’autres délices pour palais fins et sélectifs.

Les «Tablettes » de Jean-Louis Nomicos, une adresse relativement nouvelle mais une valeur sûre basée sur l’authenticité des ingrédients et le talent d’un artiste aux doigts magiques.

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